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il y a 3 ans
Nous vivons fort agréablement mon amie, moi et notre petite servante Anny, enfin mon mari Marc qui est devenu Anny. Mais il faut que je vous explique…
Je m’appelle Chantal, issue de la petite bourgeoisie d’une petite ville de province, je m’ennuyais terriblement et je n’avais d’autre horizon que la perspective d’un « bon » mariage. Lorsque, lors d’un voyage à Paris, je rencontrais Marc, je sus que j’avais trouvé ma victime. Marc était assez joli garçon, mais terriblement efféminé, mince, de très beaux yeux, et surtout effroyablement introverti. Sa principale qualité était d’être le dernier rejeton d’une famille, riche, très riche.
Ce fut facile de le prendre dans mes filets et deux mois plus tard, nous étions mariés, mais je déchantais, car dans le contrat de mariage, toute sa fortune lui appartenait et en cas de divorce, je perdais tout ! Mais c’était mieux que rien, j’avais au moins une vie fort agréable, de l’argent, des bijoux et surtout un mari fort peu encombrant à qui j’avais imposé, dès le début, nos chambres séparées. Nous étions un couple sans en être un, il me laissait faire ma vie et lui vivait la sienne. J’avais bien compris que ce mariage n’était qu’une convention. Vous ai-je dit qu’il était efféminé ? En fait, il était plus que cela, il était homosexuel passif et en plus adepte du travestissement ! Je connaissais son armoire « secrète », en fait une pièce dans laquelle, il cachait ses parures féminines, de bien belles choses d’ailleurs que je lui empruntais parfois. J’adorais voir sa tête lorsqu’il me voyait avec une de ses robes ! Mais bien sûr, il ne disait rien, peut-être pensait-il que nous avions les mêmes goûts vestimentaires ? Il ne travaillait guère, ses usines « tournant » toutes seules, enfin avec des directeurs. Cela lui laissait beaucoup de temps libre, que je lui abandonnais sans problème, cela me permettait de vivre ma propre vie, j’avais de nombreux amants, mais qui ne me satisfaisaient pas vraiment, il manquait quelque chose dans ma vie.
L’Amour, oui l’amour avec un grand « A ». Et cet amour je l’ai trouvé dans les bras de celle qui partage ma vie. Je ne me savais pas lesbienne, bien sûr je ne suis pas sotte et dans les revues pornos trouvées dans le cabinet de mon mari, je savais que cela existait. Mais par manque d’opportunités… Et puis, un jour, je me rendis chez la docteure Véronique X, gynécologue de son état, c’était pour des affaires de femme et sans grande gravité. Dés que je pénétrais dans son cabinet, j’eus un choc, c’était une belle grande femme, aux formes harmonieuses et je sus au premier regard qu’elle ne portait rien ou presque sous sa blouse, du moins pas de soutien-gorge, je ne pouvais pas détacher mes yeux de sa poitrine, harmonieuse et délicieusement lourde. Elle sourit en me voyant l’admirer et ses yeux plongèrent dans les miens, je rougis et cela la fit rire. Lorsque je passais sur la table d’examen, pour la première fois depuis bien longtemps j’eus un sursaut de pudeur, de me retrouver les jambes écartées par l’étrier, mais je me ravisais, après tout c’était bien normal, elle devait m’examiner… Ce qui était moins habituel, c’est que ses instruments passaient souvent sur mon clitoris. Je suis clitoridienne et je ne tardais pas à mouiller, sans que cela semble la déranger. Je m’excusais, mais elle me répondit que c’était normal, que je n’étais la seule femme à qui cela arrivait, et alors qu’elle avait terminé son exploration intime, elle me fixa droit dans les yeux et glissa un, puis deux doigts dans mon vagin, et me masturba, d’abord doucement, puis plus fort, mais avec une science, une tendresse qui me fit pousser un gémissement de plaisir. Lorsqu’elle me dit qu’elle devait procéder à la palpation de mes seins, je devinais que pour une fois cela ne serait pas douloureux ! Bien sûr, elle fit ce qu’il fallait, mais en fait elle me caressa plus qu’autre chose, j’étais dans un état proche de la transe, je voyais ses mamelons durcis sous sa blouse, qu’elle ouvrit sans pudeur. Elle n’avait pour seul vêtement qu’un minuscule string blanc. Qu’elle était belle ! Je tombais dans ses bras ouverts et ce fut notre premier baiser, notre première étreinte. Elle était belle, chaude, douce et surtout experte en caresses, je fus immédiatement amoureuse ! Comment avais-je pu me contenter des tout ces hommes brutaux, qui ne pensaient en fait qu’à leur plaisir propre. Véro était douce, mais tendre à la fois et elle sut me conduire vers le plaisir, tout en m’apprenant aussi à la combler. Ce fut merveilleux, un éblouissement ! Et lorsque je ressortis dans la rue, je ne pensais qu’à mon prochain rendez-vous, pour des « examens complémentaires »… et cela le lendemain soir, à vingt heures, après la fermeture du cabinet. Elle travaillait tard !
J’étais dans un état second, il me semblait voler plutôt que marcher et même lorsque je vis mon « mari », enfin cet individu qui ne savait même pas se démaquiller proprement, je n’hésitais pas à lui faire remarquer qu’il avait encore du rimmel sur les yeux ! Il rougit, baissa la tête et attendit l’orage qui ne vint pas : j’avais d’autres choses à penser qu’à cette folle ! Qu’il aille se faire prendre, se faire enculer par qui il voulait et même se faire sucer, quoique, à mon avis, ce devait être lui qui devait sucer les autres. Cette pensée, de l’imaginer à genoux devant une braguette me fit même sourire, même si le principe me répugnait.
Cela avait été toujours moi qui dirigeais la maison, mais là, l’amour me fit prendre un ton autoritaire auquel il se soumit. Le soir, seule dans mon lit, je repensais à Véro et aussi à cette fiote qu’était mon « mari ». Il ne me dérangerait pas, mais c’était à moi de prendre les rênes du pouvoir. Après tout qu’il s’habille comme il il voulait, moi je savais ce qu’était une vraie femme… Les choses allaient changer dans cette maison ! Pour commencer, dés le lendemain, je lui interdis de croiser mon regard, il devait désormais garder les yeux baisser et ne me parler que lorsque je lui adressais la parole. Il se conforma à mes directives avec une facilité étonnante, mais qui me conforta dans ce que je pensais de lui, une pauvre folle ! Mais cela m’arrangeait bien.
Le soir lorsque je retrouvais ma doctoresse préférée, elle me dit de me déshabiller et de ne pas aller sur le chevalet, mais sur la banquette, jambes écartées… et pour la première fois, elle me brouta la minette. Ce fut une explosion de plaisir, mais aussi de mouille, je découvris et elle avec que je pouvais être une femme « fontaine » ! Je ne connaissais pas encore vraiment les trésors de l’amour saphique et elle me les fit découvrir, je goûtais à son intimité, à sa mouille délicieuse dont je m’enivrais jusqu’à l’extase ; puis, allongées toutes deux sur le tapis de soie, je lui parlais de mon amour et lui dit que je voulais tout quitter pour vivre avec elle. Je lui parlais de mon mariage, de mes déceptions, et aussi, bien sûr de mon mari. De ses travers, de ses penchants pour le travestissement et les hommes. Mais aussi de ma situation financièrement dépendante de Marc.
C’est Véro qui trouva la solution, qui me dit comment faire pour la garder, elle, mais aussi ma fortune… Elle me fit le soir même la première ordonnance, qui allait rendre notre vie si douce, ensemble. Je n’étais pas sure que cela puisse marcher, mais elle sut se montrer convaincante et son ascendant sur moi fit le reste. Ce fut notre première nuit, notre lune de miel durant laquelle je découvris des trésors que seule une autre femme pouvait me faire découvrir. Moi qui n’aimais pas les caresses sur les seins, la caresse, le frottement tout doux des siens sur les miens, m’ouvrirent de nouveaux horizons, dont je ne voulais à aucun me passer désormais !
Je rentrais très tard et Marc qui m’attendait voulu me le reprocher, mais je le remis en place, je le giflais « Vas au lit ! » et il ne dit rien. C’était un bon début, Véro avait raison, je pouvais le mener par le bout du nez, lui faire accepter bien des choses, mais sans le recours à la médecine, peut-être refuserait il la venue de Véro, chez nous.
Je commençais le jour même son traitement, dont les effets ne se firent pas attendre. Les hypnotiques le rendirent encore plus doux et obéissant et les hormones lui firent perdre presque immédiatement sa pauvre virilité. Il n’était déjà pas bien vaillant au lit… Le lendemain, je l’entraînais dans ma chambre, je le sentais hésitant et je compris pourquoi !, sa petite bite était réduite à une pauvre petite nouille ridicule qui me fit rire et le conforta dans son manque de virilité, dont je ne me privais pas de me moquer. Je le revoyais dans ses quartiers, lui disant qu’il n’était pas un homme ! Que même femme, je n’en voudrais pas dans mon lit. Il sortit tête basse, humilié. Le processus psychologique commençait.
Les jours suivants, la conjugaison, hypnotiques, anti-testostérones et progestérones, fit merveille, je le voyais changer à vue d’œil, déjà avant, il ne faisait pas « mec », mais alors là… Il suffit de trois semaines pour qu’il ressente les premières douleurs à la poitrine que deux jolis petits bourgeons apparaissent sur son torse, et qu’il prenne, sans vraiment s’en rendre compte des manières précieuses, dont je le félicitais, après tout n’était pas devenu MA chérie ? Oui, désormais je lui parlais au féminin et lorsqu’au début il voulut protester, je lui rappelais la taille de sa bite, puis je l’entraînais par l’oreille jusqu’à sa pièce « secrète »… Je lui dis que sa transformation, n’était rien d’autre que la conséquence de ses mœurs dépravées, et que j’étais encore bien bonne, d’accepter de vivre avec un travesti, un impuissant ! Et que, puisque c’était son choix désormais, il vivrait à la maison en robe et que pour sortir il devrait porter des sous-vêtements féminins, y compris un soutien-gorge push-up, qui faisait plus que se deviner sous sa chemise. Je lui ordonnais de se changer immédiatement, afin que je voie à quoi, il pouvait bien ressembler en femme. Je lui choisis moi-même une jupe courte, et un chemisier, ainsi que des bas noirs, puisque naturellement ses fantasmes le poussaient à en mettre. Je fus surprise du résultat, il n’était pas ridicule que cela…. Et il prit vite l’habitude vivre habillé en « femme » je le fis marcher, s’asseoir et tourner, il avait une certaine aisance ! Je l’envoyais au lit en lui ordonnant de porter une chemise de nuit. Le lendemain, je le vis apparaître devant moi, dans sa jolie jupe noire à godet, chemisier blanc, bas gris et talons plats. Je le regardais d’un œil sévère, « talons hauts ! Tu es une pute, ne l’oublie jamais ! » Dès lors, nos rapports devinrent plus marqués, il s’habillait toujours en femme, à la maison, enfin plutôt en « fille des rues » que comme une femme honnête, mais cela semblait lui plaire et je ne me privais pas de le lui faire remarquer. Je le traitais de « pute à cent sous »... Et il ne bronchait pas, je pense que comme Véro me l’avait dit, la soumission passait par l’humiliation. Je profitais de cet état d’esprit pour le faire poser en petite tenue, bas, guêpière… il avait une collection de tenues sexy impressionnante ! Et à chaque photo, je ne manquais pas de lui dire que son « album porno » prenait de l’ampleur. « Imagine que ces photos arrivent sur les réseaux sociaux… Tout le monde saurait que tu es un travesti, enfin une travestie, une salope ! Aller ouvre plus grande la bouche, ferme les yeux et imagine que tu suces un black ! » Bien sûr, il se soumettait et je pense qu’il aimait même cela !
Bien évidemment, je rencontrais Véro, mon “Homme”… tous les soirs et parfois en journée. Je n’avais plus à me cacher, si tenté que j’aurais dû le faire. Je parle de Véro, comme de mon “Homme”, eh bien c’était un peu, beaucoup, cela. J’étais soumise en amour et la laissais avec délice me conduire jusqu’à des rives, ou le plaisir était roi, reine. Il m’était arrivée de vouloir refuser certaines choses, qui me faisaient rougir, mais elle me giflait et me traitait d’idiote. Je baissais les yeux et acceptais tout, même me faire prendre par derrière, avec un godemiché… Je criais la première fois, mais je dus lui avouer qu’elle avait raison et je que devais me soumettre à tous ses désirs, car elle savait ce qui était bon pour moi, pour nous. Moi qui me moquais de Marc au sujet des fellations j’appris et je pratiquais avec plaisir, surtout lécher sa chatte odorante et si douce. Je la masturbais aussi, avec un gode double, enfoncé dans son sexe et que je manœuvrais avec ma bouche. Elle avait sur moi un ascendant qui ne cessait de grandir et je devenais tous les jours un peu plus sa “chose” sa “Femme”.
Marc ne nous dérangeait plus, mais nous devions aller plus loin, le féminiser totalement afin qu’il ne puisse plus nous échapper, enfin, surtout sa fortune… Il fallut six mois pour que le volume de sa poitrine fasse un bon bonnet AA, et lui pose quelque problème. Je lui dis donc qu’il fallait qu’il voie un médecin, enfin plutôt une obstétricienne…
Bien sûr, je l’amenais voir Véronique.
Humm aurais aimé être à ca place | |
Ah oui, le rêve, sans la transformation !!! J’adore |
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